"Un noël en famille" de Jennifer Johnston
Editions Belfond, 254 pages, 2009
Présentation de l'éditeur
Porté par l'écriture exquise de Jennifer Johnston, un roman aussi poignant que délicat sur les liens familiaux, l'amour et le temps qui passe. Une histoire bouleversante, parsemée de subtiles références shakespeariennes, par une des plus brillantes romancières irlandaises. Lorsque, après un terrible accident de voiture, Henry, la cinquantaine, se réveille sur son lit d'hôpital, il ne peut se rappeler ce qui l'a conduit là. Très mal en point, il a du mal à situer ceux qui défilent à son chevet : est-il encore marié à cette femme très autoritaire ? N'était-il pas fâché avec sa fille ? Son fils lui cacherait-il quelque chose ? Son frère serait-il revenu du Canada ? Que devient sa mère, artiste excentrique et déboussolée ? Et qui est Sebastien, ce très bel homme qui le veille nuit et jour ? Au fur et à mesure que son corps se répare, ses souvenirs reviennent, et avec eux ces sentiments d'inadéquation, d'insécurité, d'urgence, qui ont fait tant de tort aux siéns. Il faudra encore un peu de temps, un événement dramatique et la magie d'un soir de Noël pour que Henry parvienne enfin à renouer les liens distendus avec sa famille...
Au cours du dernier Salon du Livre de Paris, je me suis laissée tenter par la couverture et la présentation de l'éditeur citée ci-dessus.
A l'approche de Noël, je trouvais donc opportun de faire baisser ma PAL qui ne cesse d'augmenter et aujourd'hui, après des semaines de silence, je n'en tire aucun souvenir particulier si ce n'est une lecture agréable... certes... Ecriture fluide. Easy reading, diraient les anglais.
Un mystère planait autour d'Henry. Une vieille dame artiste, sa mère, un rien loufoque et sénile m'amusait. Une ex-femme tentait de recoudre les morceaux d'une famille décousue. De la neige pour feutrée l'ambiance...Tout cela arrosé de pas mal d'alcool et de thé pour réchauffer. Je ne sais qu'en dire de plus....
Je n'ai jamais rien lu de cet auteur . J'ai vu qu'elle avait reçu de nombreux prix dont le prestigieux Whitbread en 1979, pour Une histoire irlandaise. Peut-être aurais-je dû commencé par là?